dodoche a écrit :
Quand un muscle est travaillé et se développe, le réseau capillaire se développe aussi, ... le sang des troncs veineux profonds vers les troncs veineux superficiels)
dodoche a écrit :
et je n'en ai jamais entendu parler. C'est peut-être une observation empirique (comme d'ailleurs beaucoup d'autres "règles" en musculation).
le muscle qui se développe le mieux est celui qui possède le plus de récepteurs à la testostérone, et ce nombre de récepteurs est déterminé génétiquement.
mamie a écrit :
Pas bon ça Dodoche, car ça confirme bien le fait qu'on est pas tous égaux devant la pratique de la fonte (entre autre), et surtout devant les résultats à en attendre. T'aurais pas des liens traitant de ce sujet stp ?!
Mais bon, même si je suis d'accord avec toi ça me fait bien chier de devoir l'admetre car t'en vient à te poser la question à quoi bon... A quoi bon galérer, pousser et bouffer comme un gros si les dés sont pipés. Et même en se faisant violence qu'elle peut être la part d'acquis part rapport à l'inné si t'es pas "équipé" au départ. Navrant ça. Quoi qu'il en soit, c'est par pour autant qu'il faille lacher l'affaire mais c'est clair, ça calme un peu.
T'as pourri l'ambiance.
look
pafortmaispuissant a écrit :dodoche a écrit :
et je n'en ai jamais entendu parler. C'est peut-être une observation empirique (comme d'ailleurs beaucoup d'autres "règles" en musculation).
le muscle qui se développe le mieux est celui qui possède le plus de récepteurs à la testostérone, et ce nombre de récepteurs est déterminé génétiquement.
C pas un truc qu'on m'a dit C une théorie que j'aV imaginée en me basant que
1) C l'alimentation du muscle en testostérone qui va le développer;
2) C le sang qui amène la testo;
3) le muscle se reconstruit au repos.
En conséquence de 1) + 2) +3), je m'éT dit que si un muscle était très gonflé à l'effort par rapport cela voulait dire qu'au repos il utilisait moins sa capacité d'irrigation qu'un muscle qui se gonflait moins à l'effort.
C tordu et peut-être même foireux :mrgreen: , j'en C rien non plus ?
En tous cas tes posts avaient le mérite d'être clairs et d'éclairer certains points sur la question.
dodoche a écrit :
un muscle bien entraîné, où le réseau capillaire est bien développé, aura tendance à gonfler davantage.
dodoche a écrit :
En ce qui concerne la capacité du muscle à être gonflé après l'effort: je crois que le raisonnement de pasfortmaispuissant est un peu boîteux.
Logiquement, ce gonflement peut être attribué au flux de sang dans le muscle qui a été sollicité, et un muscle bien entraîné, où le réseau capillaire est bien développé, aura tendance à gonfler davantage.
En ce qui concerne le potentiel d'hypertrophie du muscle:
ce qui est déterminé génétiquement c'est, d'une part le nombre de récepteurs à la testostérone et d'autre part le taux de base circulant en testostérone. Avec l'entraînement et une alimentation chargée en protéines, le muscle réagit en s'hypertrophiant. Ce mécanisme est sous le contrôle du système hormone/récepteur, et il y a effectivement un "maximum possible"
A moins qu'on ne triche avec des hormones anabolisantes: dans ce cas, on "inonde" les récepteurs, qui se mettent à turbiner, et le muscle grossit encore davantage. Mais ceux qui ont déjà essayé savent bien que l'effet n'est pas définitif, et que l'on finit toujours par revenir à un stade qui correspond à la constitution de départ.
Ce n'est pas plus injuste que ceux qui perdent leur cheveux par rapport à ceux qui ne les perdent pas (c'est exactement le même phénomène). Pourquoi se décourager? L'objectif c'est, pour chacun, arriver au maximum de ses possibilités" et non "essayer de ressembler à..." (surtout que dans ces cas-là, ceux auxquels on a envie de ressembler sont souvent gonflés aux anabolisants)